Condoléances sanitaires

Adieu, adieu petits soldats filiformes et ouatés. Quelles ne furent pas ma tristesse et ma douleur lorsque vous chutâtes éparpillés sur le sol carrelé. Mes oreilles en bourdonnent encore.

Adieu fiertés sanitaires des oreilles bien débouchées et des abeilles en mal de cire, je vous aimais bien…




... Mes petits coton-tiges.



20/03/2009
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